Certains diront que j'ai abandonné l'ancien trop brutalement,que le nouveau a surgit dans ma vie sur une coup de coeur trop rapide, mais depuis qu'il est rentré j'arrive plus a m'en separer j'aime sa douceur,son odeur,sa petite tete,sa peau toute douce sur moi meme au boulot ils l'ont tous trouvé mignon et j'ai bien vu que certaines nanas avaient envie de me le piquer ,il est attachant aujourd'hui il est pas venu et tout le monde l'a reclamé,quand j'ai envie de douceur de calin il est toujours a mes cotés en tout cas une chose sure il est a moi
Mardi 28 avril 2009 à 21:48
Samedi 25 avril 2009 à 19:06
Nombreux sont ceux qui ont lu et aimé "Ensemble c'est tout" donc le nouveau etait attendu aussi je dois dire que de tout ces livres c'est celui que j'ai le moins apprecié au debut on a du mal,c'est lent,c'est long,ca tourne en rond mais appreciant l'auteur j'ai voulu continuer et une fois passer cette lenteur impossible de m'en decoller certains passages m'ont plu,certaines phrases sensuelles m'ont fait sourire,meme si helas la fin est previsible on reste quand meme content de cette fin il vecurent heureux et eurent beaucoup d'enfants.
Petit resumé: Charles Balanda, 47 ans, architecte à Paris, apprend incidemment la mort d'une femme qu'il a connue quand il était enfant, et adolescent. 'Il déchire la lettre et la jette dans la poubelle de la cuisine. Quand il relève son pied de la pédale et que le couvercle retombe, clac, il a l'impression d'avoir refermé, à temps, une espèce de boîte de Pandore et, puisqu'il est devant l'évier, s'asperge le visage en gémissant. Retourne ensuite vers les autres. Vers la vie. Se sent mieux déjà. Allez... C'est fini. C'est fini, tu comprends ?' Le problème, c'est que non, il ne comprend pas. Et il n'y retourne pas, vers la vie. Il perd l'appétit, le sommeil, abandonne plans et projets et va essayer de comprendre pourquoi tout se fissure en lui. Et autour de lui. Commence alors un long travail de deuil au bout duquel il est obligé de se rendre à l'évidence : l'échelle de cette vie-ci est illisible et il faut tout rebâtir.' Anna Gavalda
Petit resumé: Charles Balanda, 47 ans, architecte à Paris, apprend incidemment la mort d'une femme qu'il a connue quand il était enfant, et adolescent. 'Il déchire la lettre et la jette dans la poubelle de la cuisine. Quand il relève son pied de la pédale et que le couvercle retombe, clac, il a l'impression d'avoir refermé, à temps, une espèce de boîte de Pandore et, puisqu'il est devant l'évier, s'asperge le visage en gémissant. Retourne ensuite vers les autres. Vers la vie. Se sent mieux déjà. Allez... C'est fini. C'est fini, tu comprends ?' Le problème, c'est que non, il ne comprend pas. Et il n'y retourne pas, vers la vie. Il perd l'appétit, le sommeil, abandonne plans et projets et va essayer de comprendre pourquoi tout se fissure en lui. Et autour de lui. Commence alors un long travail de deuil au bout duquel il est obligé de se rendre à l'évidence : l'échelle de cette vie-ci est illisible et il faut tout rebâtir.' Anna Gavalda
Mercredi 15 avril 2009 à 21:05
Une idée comme ca de Mister,et nous voilà partis a St Malo a 5h du mat dans la voiture,les 2 marmottes qui ronflent derrieres,le chauffeur et moi qui ne dort pas en voiture a ses cotés,de St Malo je retiendrais une petite ville sympa,un soleil d'enfer ou je suis revenue avec la couleur d'un homard ,les crepes extraOrdinaires du petit resto vue sur la mer,nos conneries,le rot de titia,brigitte bardot,les coquillages,moi en mode moulin a parole ,les mamies en string,la racaille de St malo a mobylette,le pantalon alu a cuire au four etc....
Bref un week end a 4 comme je les aime..
Bref un week end a 4 comme je les aime..
Dimanche 5 avril 2009 à 22:17
Juste parce qu'on a tendance toujours a se plaindre quand on va mal mais faudrait pas oublier les bons moments qu'on passe alors je le crie haut et fort de ton mon coeur je suis bien,je vais bien,je profite enfin de ma vie je suis en mode renouveau,renaissance,j'envisage mon futur de m'occupe de moi,je ris,je souris, bref c'est comme si a l'heure actuelle la vie avait decidé de me donner une seconde chance alors je fonce avec le sourire freedent qui m'envahit...