Jeudi 11 juin 2009 à 21:06
Pico Bogue est le fils aîné d'une famille de tout ce qu'il y a de plus normal, c'est-à-dire unique, extraordinaire et parfois complètement folle ! Avec sa petite soeur Ana-Ana, Pico évolue dans la vie avec autant de certitudes que d'interrogations, ce qui vaut à ses parents et grands-parents des crises de toutes sortes : crises de rire, crises de désespoir, crises d'amour toujours
Dimanche 7 juin 2009 à 17:59
Samedi 6 juin 2009 à 11:57
Depuis le temps qu'on en entend parler je me suis dit là j'ai l'occassion je dois y aller,une petite salle assez intime avec pour seul decors 3 chaises accompagnés de 3 grands vases ou disposent des verres remplis,la lumiere s'eteint et là on voit arriver 3 femmes toutes au look differents mais des le debut nos yeux se posent sur l'actrice Maîmouna Gueye tres grande avec la coupe afro elle degage quelque chose qui nous intrigue et des qu'elle parle on est subjugué par son accent africain.Des le debut on sait a quoi s'attendre:"Si votre vagin pouvait parler, que dirait-il ?" Orgasme, excision, viol "
Ce qui est amusant c'est que c'est vrai ,on se reconnait dans certaines anecdotes,la pince de canard froide,le 1er tampon, etc.... mais on ne fait pas que rigoler betement,des sujets comme les viols avec notament la femme bosniaque l'excision ou meme le cancer laisse une atmosphere particuliere ou regne un silence affolant mais helas reel,
Toutes les 3 degagent quelque chose de differents chacunes a son role Claudine Coster a une façon de narrer qu'on reste bouche bée elle decrie les choses d'une façon claire ce qui renforce cela etant aussi qu'elle est la plus agée des 3 ,Maîmouna Gueye a le passage le plus comique et avec sa personnalité ca rend encore plus comique,ce passage est vraiment pour elle, et puis Virginie de Clausade elle n'a pas forcement les passages les plus faciles mais par rapport aux 2 autres du coup elle est un peu effacé,ce qui est dommage.
Petit resumé:'Les Monologues du vagin est un texte fondé sur plus de deux cents entretiens avec des femmes jeunes âgées, mères de famille, dactylos, PDG, prostituées, noires, hispaniques, asiatiques, bosniaques, indiennes, juives, blanches. A partir de ces témoignages du monde entier, confiés avec violence, effroi, humour, plaisir ou angoisse, Eve Ensler avait eu l'idée d'écrire une pièce sur la part la plus intime de la femme : son vagin.
